Les jours pleuvent sur mon éternité Une année, les nuages faiblissent Et
mes yeux alors insouciants se ferment A l'aperçu du rayon de soleil
essentiel Que mon imagination n'a pas pu me donner Merci, je peux reposer
en paix Des larmes dorées égayeront mon sourire Qu'importe qu'elles ne
nourrissent pas Quelques coeurs arides - rocs de glèbe - Elles iriseront
le temps d'un instant Le suc d'un vers travailleur
Denis (24 décembre 2004)
© IDDN 2005
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