Etant nabot, je baisse la tête. Je racle les pavés de Mes
Maîtres. Devant : des crottes d’une autre bête. Après : Ses Poussières si
Champêtres.
Confiant, Mon Auteur change de niveau, Imprimant Sa Voie dix
mètres plus bas, M’oubliant en ce frileux caniveau. A mon estime, c’est
très haut ce bas !
Mes pas, vieux sont d’os, neufs sont chairs. L’appel De
vie est ce vide. Tel un scalpel, Mon corps va au sol mais ne l’atteint
pas.
Je flotte. J’ondoie par fins coups de rein. Les Seigneurs m’acclament
en souverain. Là, cette fille qui sert les
repas...
----(épilogue)---- Elle te fait sac d’os. Tu restes
pantois. Ses yeux ne sont pas satinés pour toi. Ne va pas te ruiner pour ces fiascos. Oh, oh, oh, oh, oh, oh !
Denis (24 juillet 2005) (du
rêve du 21 juillet)
© IDDN 2005
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